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Stéphanie Brunet, coache d'ariste, metteure en scène, professeure de yoga

Stéphanie Brunet, coache professionnelle, coache d'artistes, professeure de Yoga, formatrice de professeurs de Yoga, metteuse en scène

Passionnée depuis toujours par l'accompagnement de l’humain, Stéphanie a acquis, avec le temps, ses expériences professionnelles, ses formations et ses rencontres, de nombreux outils, qu'elle peut relier les uns aux autres pour vous accompagner, que cela soit en coaching de vie (life coaching), en coaching d'artistes, ou en Yoga :

  • un DESU "Pratiques du coaching" en 2022 à Paris VIII à l'issu duquel elle devient coache professionnelle diplômée et certifiée.

  • une formation intensive à l'enseignement du yoga d'inspiration Iyengar auprès de Céline Miconnet de 2010 à 2012. Elle obtient son diplôme de professeure de yoga en juin 2012.

  • une méthode, entre autres basée sur l'utilisation des verbes d'action, lors de sa formation de coache d'artistes avec Marie Giraud au sein d'Harmoniques en 2011.

  • un travail en psychothérapie, en psychanalyse, et en Dynamique émotionnelle exprimée qui lui a notamment appris à exprimer ses émotions, et à accompagner l'autre à le faire.

  • une connaissance des différents répertoires du chant lyrique, une habitude de ce «monde», de la technique vocale et de ses exigences, de l'interprétation vocale, grâce à ses 15 ans de chant lyrique professionnel.

  • une longue expérience de pédagogue en technique et interprétation vocale.

  • une connaissance du solfège, de l'histoire de la musique et de l'analyse musicale grâce à ses études en Musicologie à Paris IV Sorbonne et de Flûte traversière au Conservatoire.

  • un travail de Maîtrise et de DEA sur le rapport texte / musique dans le Lied allemand et la mélodie française (Lieder et mélodies de Franz Liszt)

Stéphanie Brunet étudie le chant avec M. Alcantara. Elle se perfectionne ensuite au sein de Masterclasses avec Christa Ludwig, Agnès Mellon, Robert Massard, François Leroux, Florence Guignolet, et, dans le domaine de la Mélodie et du Lied, en suivant l’Académie de mélodie française au CNR de Toulouse avec B. Jolas, N. Lee, R. Yakar, et un DESS « Formation à l’art du récital » à l’Université Paris III, sous la direction de F. Tillard.

Quelques productions musciales auxquelles a participé Stéphanie  : « Rosa » dans « Le pèlerinage de la Rose » de Schumann aux Folles journées de Nantes (dir. P Colleaux) - « Ange 1 » dans la « Pastorale sur la Naissance de notre Seigneur Jésus Christ » de Charpentier (Parlement de Musique, dir. Mus. M. Geister) - Création française de Mass de Bernstein à Cergy-Pontoise et à Vannes (mise en scène E. - « Inconnu à cette adresse », Festival d’Avignon (compagnie Ultima Chamada) - « Les  Dévergondages baroques » (mise en scène B. Brumer), Théâtre du Tambour Royal.

Audrey Saad, comédienne, artiste lyrique, harpiste, kinésithérapeute, professeure de YOGA

 

Audrey s’est formée au théâtre classique et contemporain, au masque, au mime et à l'improvisation à l’Académie Internationale des Arts du Spectacle. Egalement musicienne, elle a étudié la harpe classique et celtique, le chant lyrique, et travaille depuis quelques années le clavecin et la musique ancienne. Audrey affectionne particulièrement les projets artistiques pluridisciplinaires où la recherche et le collectif sont primordiaux. Elle s’investit dans des spectacles mêlant texte, théâtre corporel, marionnettes, musique instrumentale et vocale. Audrey collabore avec les compagnies Comédiens et Compagnie, Teatro Picaro, L'Artisanie, E il piano va, Théâtre Dell’Arte, Aigle de Sable, Les Rencontres Musicales du Malzieu, en tant que comédienne, chanteuse, parfois compositrice ou directrice musicale.

 

Audrey rencontre Stéphanie Brunet en 2011 d’abord comme professeur de chant et coache, et commence la pratique régulière du yoga avec elle en 2014. Audrey apprécie l’idée de protéger et guérir le corps par cette approche. Cela fait résonance avec son autre métier de masseuse - kinésithérapeute (diplôme obtenu à Toulouse en 2002) : soigner par le mouvement. Elle s’intéresse de plus en plus à la pratique et la philosophie du yoga, suit des cours et stages auprès de Stéphanie Brunet, Valeria Rossi, Alex Onfroy et Faeq Biria. Sur les conseils de Stéphanie Brunet, elle se dirige vers l’enseignement du yoga inspiré du yoga Iyengar parallèlement à son métier actuel de comédienne-chanteuse.

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Magali Léger, artiste lyrique, professeure de chant

 

Magali a commencé ses études de chant avec Christiane Eda-Pierre, et les poursuit avec Christiane Patard au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, où elle obtient le premier prix à l’unanimité. En 2003, Magali est nommée dans la catégorie « Révélation » des Victoires de la Musique. Elle devient rapidement une habituée des plus grandes scènes de concert et d'opéra (Opéras de Lyon, Nantes, Metz et Rouen, Opéra Comique, Grand-Théâtre du Luxembourg, Châtelet, Cité de la Musique, Lincoln Center à New-York, Teatro Comunale de Bologne, Vienne, Festivals d'Aix-en-Provence, de Beaune, etc.), où elle aborde aussi bien le répertoire baroque et la création contemporaine que les chefs-d’oeuvre classiques et romantiques.

 

Au contact de personnalités telles que Marc Minkowski, Michel Plasson, William Christie, Emmanuelle Haïm, elle chante dans Mignon (Thomas), La Veuve Joyeuse (Lehár), Le Roi malgré lui et L'Étoile (Chabrier), Thaïs et Werther (Massenet), Don Pasquale et L'Élixir d’Amour (Donizetti), Les Pêcheurs de perles (Bizet), Porgy and Bess (Gershwin), Elephant Man (Laurent Petitgirard), Médée (Michèle Reverdy, création), La Belle Hélène et Orphée aux Enfers (Offenbach), et bien sûr Mozart avec Les Noces de Figaro, Idoménée et L’Enlèvement au sérail.

Puis, après avoir interprété Minka du Roi malgré lui de Chabrier, à l’Opéra de Lyon et à l’Opéra Comique à Paris, on a également pu l’entendre dans L’Amant Jaloux, de Grétry, à nouveau à l’Opéra Comique, et aussi à l’Opéra Royal de Versailles, sous la direction de Jérémie Rhorer. Après La Vie Parisienne d’Offenbach au Capitole de Toulouse, mise en scène par Laurent Pelly, elle était la Thérèse des Mamelles de Tirésias, au Festival de Feldkirch et au Théâtre Impérial de Compiègne, Fatime dans Abu-Hassan de Carl-Maria von Weber à Besançon, Musetta dans La Bohème à Saint-Étienne, et Frasquita dans Carmen, pour un retour à Compiègne. Elle reprend en 2014 l’un de ses premiers rôles, Minette dans la Chatte métamorphosée en femme d’Offenbach, une nouvelle collaboration avec Alexandra Lacroix qui se poursuit depuis, avec un triptyque consacré aux Passions de Bach. Trois disques avec son ensemble baroque Rosasolis sont parus depuis 2009, l'un consacré aux motets et sonates de Haendel, le suivant aux cantates de Pergolèse, et le dernier, sorti en septembre 2017, à un joyau de Boccherini, son Stabat Mater pour quintette à cordes et soprano.

Sous la direction de William Christie et ses Arts Florissants, Magali chante Rameau, Maître à danser, une mise en scène présentée depuis 2014 notamment à la Cité de la Musique à Paris, au Barbican Center de Londres, au Théâtre du Bolchoï à Moscou, en septembre 2017 à Séoul et en mars 2019 à la Brooklyn Academy of Music. C’est aussi dans cette salle de New York qu’elle est venue en avril 2016 avec Les Arts Florissants, pour chanter dans Les Fêtes Vénitiennes, du compositeur français André Campra. Elle continue sa collaboration avec Emmanuelle Haïm en octobre 2017 au Théâtre des Champs-Élysées pour un gala Mozart, et à l’Opéra de Dijon où elle a interprété en mai 2018 La Statue du Pygmalion de Rameau, et Psyché dans L’Amour et Psyché de Mondonville, mis en scène et chorégraphiés par Robyn Orlin, une création reprise en janvier 2019 à l’Opéra de Lille, puis en février 2020 au Grand Théâtre de Luxembourg et en mars 2020 à l’Opéra-Théâtre de Caen. En mai 2019, elle rejoint Anna Caterina Antonacci au Grand Théâtre de Genève pour participer à la création de Médée, de Marc-Antoine Charpentier, sous la direction de Leonardo García Alarcón et son ensemble Cappella Mediterranea, dans une mise en scène extravagante de David McVicar.

Annini Tsiouti, musicologue, pianiste et accompagnatrice

 

Annini privilégie la musique des 20e et 21e siècles, tant dans son activité de pianiste que de musicologue. Ses programmes de concert mettent la création contemporaine en vis-à-vis avec des œuvres antérieures, offrant des nouvelles pistes d’écoute et de découverte. Dans sa thèse en musicologie, sur le cycle des 32 Pièces pour piano du compositeur grec Nikos Skalkottas (1904-1949), elle explore l’apport du geste pianistique à l’interprétation, en l’utilisant comme véhicule de l’analyse, une notion qu’elle met aussi en pratique dans sa propre activité de pianiste et d’enseignante.

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Annini a créé plusieurs œuvres de compositeurs Chypriotes pour piano solo ou pour ensemble avec piano. Elle a joué la totalité de l’œuvre pour piano du compositeur Faidros Kavallaris (né en 1950), qui lui a aussi dédié une de ses dernières pièces pour piano (Phoni Mesaritissa, 2013). Depuis 2014 Annini travaille avec le compositeur Australien Graham Hair. Elle a enregistré ses Mediterranean Duets avec des membres du groupe Scottish Voices pour un disque qui sortira prochainement sur le label américain Ravello. En novembre 2017 elle a donné en concert à Glasgow des nouvelles pièces de Graham Hair avec des membres du Scottish Clarinet Quartet, et en 2019-2020 elle fera la création de sa nouvelle pièce pour piano, soprano et six percussions au Reid Hall à Edinburgh. Pendant la saison 2018-2019 Annini a donné à Paris des récitals solo et des concerts de musique de chambre. Pendant la saison 2019-2020 elle apparaitra en février à Athènes, dans une série de concerts de musique contemporaine organisée par la Fondation Onassis, dans un programme combinant trois pianos de tailles différentes. Entre autres elle fera la création de la pièce de Brice Catherin intitulée Numéro 2, dans la version pour piano et électronique. Annini apparaitra ensuite à Paris, dans la série de concerts Cantus Formus organisée par le compositeur Nicolas Bacri, où elle va interpréter des pièces de Nikos Skalkottas et de la compositrice française d’origine grecque, Hélène Covatti-Dussaut.

Djanick Nanette, pianiste, chef de chant, ténor lyrique, est passionné de musique depuis sa plus tendre enfance. Il commence son apprentissage classique en conservatoire par l’étude du piano puis de l’orgue, ce qui lui permet dès l’âge de 16 ans d’avoir une chaire d’organiste. Malgré une activité professionnelle intense loin de la musique, il reste attaché à cet art. Souhaitant élargir son horizon musical, il étudie le jazz et obtient un diplôme d’arrangeur de la Bercowitz Music School tout en découvrant cet univers en qualité de Piano-Bar. Son origine antillaise métissée le poussera également vers le Gospel en qualité de choriste et de pianiste. Il sera membre de plusieurs groupes de Gospel dont la Mass Choir « Gospel pour 100 voix ». Voulant aller encore plus loin, il souhaite aussi travailler sa voix, le premier instrument de chacun. Il aura ainsi notamment le plaisir d’être pendant trois ans l’élève de Nadine DENIZE à la Schola Cantorum de Paris dans sa classe de perfectionnement lyrique. Au fil des années, il participe à divers projets en qualité de pianiste accompagnateur ou de Ténor lyrique (soliste ou choriste).

Caroline Dubost, pianiste, chef de chant, commence le piano à Noisy le Sec avec Jacqueline Pouillard. En 1994, elle obtient le Prix d’Honneur en Supérieur au concours « Royaume de la Musique » et joue à cette occasion avec l’orchestre de la Maison de la Radio. Elle obtient sa Médaille d’or de piano au CNR d’Aubervillier-La Courneuve en 1995. Elle poursuit ses études à l’Ecole Normale de Musique de Paris Alfred Cortot dans la classe de Germaine Mounier. Elle y passe en 1997 sa Licence de Concert. L’année suivante, elle décroche à l’unanimité le Diplôme Supérieur de Concertiste. Elle se perfectionne auprès de Maîtres, tels que Paul Badura-Skoda (Paris, Sienne), Dominique Merlet (Paris, Prades), Monique Deschaussées (Paris), Vera Gornostaeva (Tours, Paris), ou encore Jean Marc Luisada (Cagliari).

Elle se produit en concerts. C’est alors qu’ elle se découvre une passion pour le répertoire lyrique. En 2002, elle rentre au CNSM de Paris. Elle y obtiendra successivement son Prix d’Accompagnement Vocal dans la classe d’Anne Grappotte , son Prix de Direction de Chant dans la classe d’Erika Guiomar, ainsi que son prix de Musique de Chambre dans la classe de Daria Hovora.

Depuis, elle se consacre aux récitals avec chanteurs (Cité de la Musique, CNSM de Paris, Bourg-Saint- Andéol, Chartres, Centre Tchèque…), à la direction de chant et aux productions lyriques. Elle a joué et travaillé comme chef de chant sur la production du CNSM de Paris « Eugène Onéguine » de Tchaikovsky, mis en scène par Emmanuelle Cordoliani, en 2006. Elle joue également dans l’opéra au piano «  Carmen » de Bizet en début de Saison 2006/07 au Théâtre du Tambour Royal à Paris.

Elle se produit lors de festivals : Saison Musicale au Château de Maintenon avec la mezzo-soprano Marie Gautrot ; Festival du 18e arrondissement, autour des œuvres Prévert-Kosma, avec la soprano Stéphanie Brunet en Mai 2007. En 2007, on la retrouve dans la programmation musicale de la Cité de la Musique avec la mezzo soprano Myriam Piguet. Elle participe également à l’émission « La Cour des Grands » de Gaëlle le Gallic sur France Musique avec la soprano Vanessa le Charles. Elle se produit en Mars 2008 aux côtés de la chanteuse Elisabeth Conquet dans le festival « Le Cercle à Musique » pour un récital piano-chant. En Avril 2008, elle est engagée comme chef de chant à l’Opéra de Rouen pour la « Clémence de Titus » de Mozart , sous la direction de Jérémie Rhorer.

Depuis 2009, elle continue à travailler comme chef de chant à l'opéra de Rouen sur différentes productions (Don Giovanni, « Véronique » de Messager...), et participe à des productions diverses: « La Grande Duchesse de Gérolstein » d'Offenbach en été 2009 au Festival Pierres Lyriques, sous la direction de Samuel Jean. Elle participe en février 2010 aux « Lundi de la Contemporaine » à la Péniche Opéra, sous la direction artistique de Mireille Larroche et Suzanne Giraud. En 2010, elle est en résidence au Théâtre de Fontainebleau pour deux spectacles: « RUS3IES » avec la Compagnie Ultima Chamada ,et « Rita ou le mari battu » de Donizetti avec la Péniche Opéra. Elle est également pianiste dans un spectacle coproduit par la Clé des Chants et la compagnie Le Rêveur d’eux: « Une Demoiselle électromagnétique » d'Offenbach. Elle a travaillé comme accompagnatrice à l’Orchestre de Paris, à l'Académie Palais Royal dirigée par J.P.Sarcos et accompagne actuellement au CNSM de Paris les classes de guitare de Roland Dyens et Olivier Chassin. Titulaire du CNFPT, elle enseigne le piano au Conservatoire de Noisy le Sec depuis 2006.

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